tendreté — [ tɑ̃drəte ] n. f. • tanretéXIIe; critiqué au XVIIe, repris XVIIIe; de 2. tendre ♦ Caractère de ce qui est tendre (1 o). « Tendreté des tiges du blé » (Bernardin de Saint Pierre). La tendreté de la viande, d un fruit. ⊗ CONTR. Dureté. ● tendreté… … Encyclopédie Universelle
tendresse — (tan drè s ) s. f. 1° Qualité de ce qui est tendre ; il se dit du jeune âge. • Une jeune reine, dans laquelle se rencontrent ensemble l avantage de l expérience avec la tendresse de l âge, le loisir de l étude avec l occupation d une royale… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
tendresse — [ tɑ̃drɛs ] n. f. • XVIIe; « enfance » 1319; de 2. tendre 1 ♦ Sentiment tendre pour qqn. ⇒ affection, attachement. « La tendresse est le repos de la passion » (Joubert). Avoir, ressentir, éprouver de la tendresse pour qqn. Élan de tendresse. ⇒… … Encyclopédie Universelle
-esse — I. ⇒ ESSE1, suff. Suff. formateur de subst. exprimant de façon abstr. la qualité désignée par l adj. de base. A. Le dér. exprime une qualité propre à une pers. 1. Un sentiment ou un état moral : allégresse, tendresse, tristesse. 2. Une qualité… … Encyclopédie Universelle
-eur — I. ⇒ EUR1, suff. Suff. formateur de subst. fém. désignant la qualité exprimée par l adj. de base. A. Le dér. désigne une perception, une sensation (avec en gén. des emplois fig.) une couleur : blancheur, blondeur, noirceur, pâleur, roseur,… … Encyclopédie Universelle