- parentèle
- (pa-ran-tè-l') s. f.1° Terme collectif. Les parents.• Mme de Bouillon nous pria instamment d'aller voir toute la parentèle nombreuse et grotesque [de Crozat], SAINT-SIMON 172, 43.2° Consanguinité.• Que notre courtoisie est telle, Que, même sans la parentèle, Ma maison je vous offrirais, SCARR. Virg. VII.• Il [Jupiter] épousa, malgré la parentèle, Sa soeur Junon par maximes d'Etat, J. B. ROUSS. Poés. div. Oeuv. t. II, p. 317, dans POUGENS.XVe s.• La verité est clere, et si est telle, Tesmoing tout sang de bonne parentelle, G. CHASTELAIN Expos. sur verité mal prise..XVIe s.• Les dispences de tels degrés de parentelle s'impetrent fort facilement en la cour de Rome, CARL. III, 5.• Si l'affection maritale est parfaicte et qu'on la surcharge encore de celle qu'on doibt à la parentele...., MONT. I, 225.Lat. parentela, de parens, parent.
Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré. d'Émile Littré. 1872-1877.